Revenir à l'Être
(Avec des vers de Z. Bianu)
En nous la permanence du jour
En nous la nuit insoumise
En nous
La transparence du regard
A jamais dévoilé
L’invite tendre
D’un sourire renouvelé
La saveur du oui
Dit
Clamé
La brise de l’enfance
L’heureuse complicité
De l’initiale source
En nous
La clameur nue
L’Eau jaillissante
Des confins déserts
De la résignation
Le vertige sidéral
Paré
De l’inépuisable étincelle
La rumeur glorieuse
De l’Être
En nous
Tout en nous
Ce torrent inlassable
Incarné au vif du souffle
En nous
Ce désir inspiré
D’accumuler les constellations
De tendresse
Toujours
En nous
Cette douceur dans l’emportement
Voilà la grande métamorphose
La transfiguration du labyrinthe
Un lieu de passage
De tous les passages
Pour émerger
Des eaux boueuses
Pour que la pluie
Retourne dans le ciel
Pour hâter l’apparition
De tout ce qu’on porte en soi
Le 14 août 2012 © Mouette
En nous la permanence du jour
En nous la nuit insoumise
En nous
La transparence du regard
A jamais dévoilé
L’invite tendre
D’un sourire renouvelé
La saveur du oui
Dit
Clamé
La brise de l’enfance
L’heureuse complicité
De l’initiale source
En nous
La clameur nue
L’Eau jaillissante
Des confins déserts
De la résignation
Le vertige sidéral
Paré
De l’inépuisable étincelle
La rumeur glorieuse
De l’Être
En nous
Tout en nous
Ce torrent inlassable
Incarné au vif du souffle
En nous
Ce désir inspiré
D’accumuler les constellations
De tendresse
Toujours
En nous
Cette douceur dans l’emportement
Voilà la grande métamorphose
La transfiguration du labyrinthe
Un lieu de passage
De tous les passages
Pour émerger
Des eaux boueuses
Pour que la pluie
Retourne dans le ciel
Pour hâter l’apparition
De tout ce qu’on porte en soi
Le 14 août 2012 © Mouette